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Les militants sur le terrain pour préparer la grève du 2 décembre !

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En cette journée de mobilisation active, l’Union Locale CGT de Foix Haute-Ariège a marqué sa présence sur le terrain pour appeler les travailleurs, les retraités et la population à se saisir massivement de la journée de grève et de manifestation du 2 décembre prochain. Face à l’urgence sociale et aux débats actuels sur le budget de l’État, il était impératif d’aller au contact direct des salariés et des citoyens pour porter nos revendications essentielles : l’augmentation générale des salaires et la défense de nos retraites.

C’est une belle dynamique collective qui a animé cette journée, avec la mobilisation de huit camarades déterminés à couvrir les points stratégiques de notre bassin d’emploi. L’équipe s’est déployée sur un large périmètre, assurant une visibilité maximale à notre organisation. Nous avons débuté par les zones d’activités névralgiques, en allant à la rencontre des travailleurs de la Zone Fournie à Tarascon-sur-Ariège, ainsi que ceux de la Zone Patau à Saint-Jean-de-Verges. Ces échanges sont cruciaux pour rappeler que la richesse est créée par nous, et qu’il est temps qu’elle revienne dans nos poches sous forme de salaire socialisé et direct.

La diffusion s’est ensuite poursuivie au cœur de la vie locale, sur les marchés de Foix. Que ce soit sur les allées de Villote ou sur la place Saint-Volusien, l’accueil a permis de mesurer les inquiétudes de la population face au coût de la vie, mais aussi sa colère latente. Enfin, pour boucler cette action d’envergure, les militants ont investi la Zone de Permilhac à Foix, ciblant notamment les grandes enseignes et sites industriels comme Vitesco et Decathlon. Partout, le message porté fut le même : nous refusons l’austérité et nous exigeons un budget de progrès social.

Cette journée de terrain n’est qu’une étape. L’objectif est clair : faire du 2 décembre un point de bascule. Comme le rappelle la confédération, il ne s’agit pas de négocier le poids des chaînes, mais d’imposer un autre partage des richesses. Nous invitons donc tous les salariés, du public comme du privé, à rejoindre le mouvement lundi prochain pour exiger ce qui nous est dû.